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Grippe aviaire et flambée des coûts
LDC se manifeste dans le contexte d’exception

Le groupe volailler et traiteur prévient de probables difficultés de livraison et de l’aggravation du renchérissement des coûts.

 

LDC met tout en oeuvre pour maintenir ses activités.
© Direction des ressources humaines de LDC

Le « contexte sanitaire et économique inédit » pousse le groupe LDC à communiquer sur ses dispositions.

  • Pour faire face à l’influenza hautement pathogène touchant les Pays de la Loire, il « a d’ores et déjà mis en place les premières mesures de réorganisation de la production afin de limiter la baisse des volumes. Les régions indemnes viendront aider les régions sinistrées dans la mesure de leurs possibilités », informe-t-il par voie de communiqué. Il n’exclut pas d’avoir à fermer temporairement des sites de production.

Voir le dossier : Grippe aviaire 2021-2022
  • Pour faire face à la flambée du cours des matières premières, emballages, énergies et carburant, encore aggravée par les conséquences de la guerre en Ukraine, il évalue une hausse de prix de revient de 35%. « A fin mars, près de la moitié aura été compensée par les revalorisations tarifaires acceptées par nos clients», indique-t-il, ayant bon espoir d’obtenir le complément nécessaire dans les semaines à venir, « nos clients ayant pris la mesure des enjeux qui conditionnent aujourd’hui la survie de la filière avicole française », rassure-t-il.

LDC rassure ses investisseurs et clients sur le fait que « la volaille restera la viande la plus compétitive ».

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