Œufs et ovoproduits : SNO Bessin doit « s’adapter en permanence »
Multiplication des codes, difficulté d’approvisionnement, la flexibilité est la clé pour la Société normande d’ovoproduits Bessin.

Yannick Bessin, président de SNO Bessin.
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Virginie Pinson
Au cœur du bocage normand, SNO Bessin emploie une trentaine de personnes. L’entreprise est bien connue dans la filière pour son activité de négoce. « Nous travaillons avec une bonne partie des opérateurs français, surtout en Bretagne et Normandie, mais aussi dans le reste de la France. Quand ils ont trop d’œufs, ou en manquent, ils nous appellent », explique Yannick Bessin, président de la société et troisième génération aux manettes.