Bovins : la Nouvelle-Zélande accélère vers l’Asie

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 2 juillet 2018 - Par Virginie Pinson

Bovins : La Nouvelle-Zélande a exporté 154 000 tonnes de viande bovine (réfrigérée ou congelée) sur les quatre premiers mois de 2018. C’est 4 % de plus que l’an dernier, quoique inférieure aux exportations de 2016, selon AHDB. Près de la moitié des envois de la Nouvelle-Zélande sont destinés aux États-Unis, mais les expéditions vers l’Asie progressent. Ainsi la Chine a reçu 5 000 t de viande de plus que l’an dernier (+16 %) et les envois vers la Malaisie et les Philippines ont bondi, collectivement, de 40 %, soit 1 500 t de plus.

Ce développement du commerce avec l’Asie se traduit par des exportations qui reculent en valeur de 2 % (soit de plus de 10 millions d’euros) car les achats asiatiques se portent sur des pièces moins onéreuses.

Ovins : Alors que les cours des agneaux atteignent des records ces dernières semaines partout dans le monde, l’heure du retournement de tendance pourrait bien sonner sous peu. Le Royaume-Uni a affiché des cours sur les marchés en vif en nette baisse la semaine dernière, et les cotations sont passées, pour la première fois depuis novembre dernier, sous leur niveau de l’année précédente. Plusieurs facteurs expliquent ce recul des prix, notamment des perspectives de retour de l’offre très décalé cette année, ou encore une qualité des agneaux assez médiocre, les éleveurs commercialisant leurs animaux à peine finis pour profiter des prix élevés du moment.

En Irlande aussi, les tarifs se sont effrités.

Viandes