Que-Choisir dénonce les conséquences du relèvement du SRP

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 6 février 2018 - Par Rédaction Réussir

L'augmentation du seuil de revente à perte (SRP), décidée par le gouvernement dans le cadre de son projet de loi sur l'alimentation présenté la semaine dernière, « coûtera jusqu'à 5 milliards d'euros aux consommateurs », a déploré lundi 5 février UFC-Que Choisir. L’association consumériste se base sur l’étude d’impact du projet de loi publiée le 30 janvier pour conforter son alerte lancée dès octobre à Emmanuel Macron. L’étude d’impact chiffre en fait les conséquences du relèvement du SRP à une hausse des prix des produits alimentaires de 0,7% à 2% selon qu’il s’appliquerait à un tiers des produits alimentaires ou à leur totalité. Une hausse traduite par UFC-Que Choisir à « entre 1,74 et 4,89 milliards de surcoûts » pour les consommateurs.

Les acteurs de l'agroalimentaire