Ovins : une parité euro/livre sterling déterminante

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 21 novembre 2016 - Par Laure-Anne Lefebvre

Ovins : Le marché irlandais de l’agneau montre des signes de fermeté, selon Bord Bia. Si la demande demeure calme, une offre plus mesurée et des taux de change un peu moins défavorables soutiennent les tarifs. Pour AHDB, le renforcement de la livre face à l’euro et une demande plus hésitante ont pesé sur les cours des agneaux britanniques, malgré une diminution des sorties d’agneaux. Les cours des carcasses ont également perdu du terrain, entre parité moins favorable et hausse des abattages.

Bovins : Si la France a été l’un des premiers pays à avoir augmenté rapidement ses réformes face à la crise laitière, toute l’Europe suit désormais le mouvement. Selon l’Institut de l’élevage, les abattages de vaches sont dynamiques en Allemagne (+5 % en octobre par rapport à 2015), en Pologne (+13 % en huit mois) où la crise accélère la restructuration du secteur, et en Irlande (+28 % en octobre) où les réformes sont précipitées par le plan européen d’aide à la réduction temporaire de la production laitière.

Viandes