Aller au contenu principal

Les Filles de l’Ouest élargit sa gamme de Schorle

La jeune société vient de sortir une cinquième référence de boissons pétillantes aux fruits. Elle les commercialise en CHR et dans les circuits spécialisés bios.

De gauche à droite : Florence Caillet et Stéphanie Brunet, fondatrices des Filles de l'Ouest. © Th. G.
De gauche à droite : Florence Caillet et Stéphanie Brunet, fondatrices des Filles de l'Ouest.
© Th. G.

C’est dans une grande entreprise de boissons et spiritueux que se sont rencontrées Stéphanie Brunet et Florence Caillet. Cette dernière avait auparavant vécu plus de dix ans en Allemagne, où elle appréciait boire des Schorle, mélanges de fruits et d’eau finement pétillante. Sa volonté de retrouver en France cette boisson populaire outre-Rhin a donné naissance aux Filles de l’Ouest, baptisé ainsi car ses deux créatrices sont originaires de Nantes. Également parce que la production de leurs boissons, assurée par un prestataire, est réalisée dans les Deux-Sèvres. Les Filles de l’Ouest a lancé en mars 2018 trois références (pomme piquante, pomme tonique, rhubarbe), vite suivies de cassis, pomme. La nouveauté de ce début 2020 est le Schorle citron jaune, citron vert aux extraits naturels de gingembre.

Les boissons des Filles de l’Ouest, sans arômes ni conservateurs, se caractérisent par leur forte teneur en jus de fruits, à hauteur de 50 à 60 % selon les recettes. Elles sont toutes bios, excepté celle à la rhubarbe, du fait des difficultés d’approvisionnement sur ce légume. Les pommes bios pressées proviennent exclusivement du Val de Loire, les autres matières premières de l’Union européenne, excepté le citron vert venu du Brésil. Alors que les sodas industriels sont de plus en plus décriés, que le « sans alcool » progresse, le Schorle des Filles de l’Ouest « bon, sain et peu calorique est en phase avec les attentes consommateurs », juge Stéphanie Brunet. Les Pays de la Loire et la région parisienne sont les régions où on le trouve le plus, dans des magasins spécialisés en produits bios, épiceries fines, coffee-shops, restaurants végétariens et classiques, bars et lieux de vie comme Ground Control à Paris.

Les plus lus

vaches limousines dans un pré
À 6,17 €/kg, le prix de la vache viande couvre désormais les coûts de revient

Les prix des broutards, puis des jeunes bovins, avaient atteint puis dépassé les coûts de production en début d’année. C’est…

Des silhouettes de vaches qui paturent dans une prairie, style illustré. Au premier plan, une fléche qui illustre une décroissance
Pourquoi le cheptel bovin a-t-il tant reculé dans l’Union européenne en 2024 ?

La baisse du cheptel bovin en 2024 est inédite. Une partie de ce recul est structurelle, alimentée par les départs en retraite…

des poules oranges
Prix des poules pondeuses – Cotation réalisée le 02 mai 2025

La CPP (Cotation poule pondeuse) est publiée dans Les Marchés le lundi reflète les prix de la semaine précédente. La CPR (…

Sheep being offloaded from a cargo ship in Oman
D’où viendra le million de moutons importés pour l’Aïd en Algérie ?

L’Algérie a mis en place des importations massives de moutons pour la fête de l’Aïd el Adha, au début du mois de juin. Une…

des poules oranges
Prix des poules pondeuses – Cotation réalisée le 18 avril 2025

La CPP (Cotation poule pondeuse) est publiée dans Les Marchés le lundi reflète les prix de la semaine précédente. La CPR (…

burger sur fond noir
Les vaches allaitantes passent toujours plus au hachoir

La consommation de viande bovine résiste, grâce à la transformation et au haché. Même les vaches allaitantes y passent, ce qui…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 90€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Les Marchés
Bénéficiez de la base de cotations en ligne
Consultez vos publications numériques Les Marchés hebdo, le quotidien Les Marchés, Laiteries Mag’ et Viande Mag’
Recevez toutes les informations du Bio avec la newsletter Les Marchés Bio