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Délifruits prépare des mélanges de fruits ultrafrais

Le spécialiste du fruit frais découpé propose des portions individuelles de fruits mûrs à point sans autre ajout, d’une DLC de 4 jours. Clientèle visée : le snacking en restauration hors domicile au sens large.

Des fruits mûrs à point, des fruits fragiles et de saison font leur apparition dans l’offre de portions individuelles fraîches, sans sirop ni sucre, de Délifruits, exposant au Sirha. Ce sont des fraises, des fruits rouges, du melon, de la pastèque, du kiwi, des agrumes variés. Seuls ou mélangés, ils entrent dans 26 compositions, selon le directeur commercial Jean-Michel Saurin. Ce dernier les veut aussi appétissants que «délicieux», d’une qualité garantie au bout de leurs 4 jours de DLC. Il les destine aux principales chaînes de snacking haut de gamme comme Cojean, Jour, Starbucks ainsi qu’à certaines GMS, ceci à l’échelon national.

L’équeutage des fraises, la découpe comme les mélanges sont manuels ; c’est à la fois une nécessité – car les produits fragiles –, l’assurance d’une coupe maîtrisée et un argument commercial. Délifruits produit annuellement dans l’Essonne 7 700 tonnes de salades de fruits frais pour la restauration de la France entière. La majeure partie est conditionnée en seaux dans un sirop léger ; sa DLC est de 10 à 15 jours. Depuis quelques années, l’entreprise produit des portions individuelles operculées sans jus ni sucre d’une DLC de 6 jours.

« Nous améliorons encore la qualité gustative », affirme le directeur commercial, pour présenter la nouvelle gamme en shakers de 280 g ou pots de 150 g à couvercle, d’une DLC encore plus courte. Interrogé sur les moyens mis en œuvre, Jean-Michel Saurin informe que Délifruits se dote d’un approvisionnement spécifique en fruits de saison mûrs à point : soit par un avenant à ses contrats en production, soit en s’adressant à des importateurs et mûrisseries. « Nous privilégions les circuits courts », précise-t-il. Cette entreprise de 65 à 80 salariés « structure une équipe dédiée à cette gamme », dont une partie de saisonniers. La nouvelle gamme, dont le nom reste à définir, devrait s’enrichir cette année de deux références bios, confie le responsable.

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