Broutards : le marché reste à deux vitesses

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 16 octobre 2018 - Par Virginie Pinson

Broutards : Pas de changement de ton sur le marché des broutards qui manque toujours d’allant. Vers l’Italie, les besoins des intégrateurs se maintiennent en animaux de qualité conformes aux exigences sanitaires. Vers l’Espagne, le flux est moins prononcé, la demande étant plus mesurée. L’évolution des cours des animaux dépend de la qualité de ceux-ci. Marché compliqué et tendance baissière en mâles de qualité inférieure ou non vaccinés, tendance ferme pour les bons sujets vaccinés.

Veau : Les cours des petits veaux laitiers se sont encore maintenus la semaine dernière, à leur niveau très bas. L’ambiance reste très mauvaise, faute de place dans les ateliers d’engraissement et de demande espagnole. C’est en mâles ordinaires et en femelles que la vente est la plus compliquée. En allaitants, nouvelle baisse dans un contexte de demande atone.

Ovins : Les disponibilités en agneaux français sont assez abondantes alors que la demande est mesurée, ce qui permet aux abattoirs de se montrer sélectif, écartant les animaux trop gras. En agneaux comme en brebis, les animaux les moins qualitatifs ont vu leurs cours se replier la semaine dernière.

Viandes