Aller au contenu principal

Volaille et traiteur
Bon troisième trimestre pour LDC qui reste prudent

Les ventes du volailler LDC ont progressé de 6,8% à 1,1 milliard d'euros au troisième trimestre de son exercice 2019-2020, mais le groupe a prévenu hier que son « objectif annuel de 200 millions d’euros de résultat opérationnel courant reste ambitieux et dépendra de la performance réalisée sur le dernier trimestre qui intègre toutes les activités festives ». A périmètre identique et taux de change constat, les ventes de LDC ont progressé de 2,3% en valeur et de 1,5% en volumes. Hors amont, les ventes du pôle volaille ont progressé de 3,2% en valeur et de 3,1% en volumes (1% en valeur et 0,1% en volume à périmètre constant). « Dans la continuité du 1er semestre, les activités sont en repli en GMS et en croissance sur les réseaux de la restauration », note LDC. Sur l’international, le chiffre d’affaires s’élève à 120,7 M€ en hausse de 41,2% en valeur et de 33,9% en volumes du fait de la contribution de la société Tranzit, de Kiplama et du fait du développement de la vente de poulet et produits élaborés en Pologne. A périmètre et taux de change constant, les ventes ont crû de 6,6%. Sur l’activité traiteur, LDC enregistre une progression de 4,7% de ses ventes (+2,4% en volume) « confirmant la bonne dynamique commerciale depuis le début de l’exercice », souligne LDC. Sur les neufs premiers mois de l’exercice, LDC enregistre ainsi un CA à 3,2 Mds€ en croissance de 7,8% (+3,4% à périmètre identique).

N. M.

Les plus lus

rayon viande hachée
Qu’est-ce qui pourrait faire baisser les prix des bovins en Europe ?

Alors que toute l’Union européenne affiche des prix records pour ses bovins, un petit tassement s’est fait sentir en Irlande…

vaches limousines dans un pré
À 6,17 €/kg, le prix de la vache viande couvre désormais les coûts de revient

Les prix des broutards, puis des jeunes bovins, avaient atteint puis dépassé les coûts de production en début d’année. C’est…

Des silhouettes de vaches qui paturent dans une prairie, style illustré. Au premier plan, une fléche qui illustre une décroissance
Pourquoi le cheptel bovin a-t-il tant reculé dans l’Union européenne en 2024 ?

La baisse du cheptel bovin en 2024 est inédite. Une partie de ce recul est structurelle, alimentée par les départs en retraite…

des poules oranges
Prix des poules pondeuses – Cotation réalisée le 02 mai 2025

La CPP (Cotation poule pondeuse) est publiée dans Les Marchés le lundi reflète les prix de la semaine précédente. La CPR (…

bovins parqués dans une foire agricole en australie
Bovins : en Australie, des abattages massifs et des prix en baisse à cause de la sécheresse

En Australie, les éleveurs sont contraints par la sécheresse et le manque de fourrage à faire abattre massivement leurs…

des poules oranges
Prix des poules pondeuses – Cotation réalisée le 16 mai 2025

La CPP (Cotation poule pondeuse) est publiée dans Les Marchés le lundi reflète les prix de la semaine précédente. La CPR (…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 90€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Les Marchés
Bénéficiez de la base de cotations en ligne
Consultez vos publications numériques Les Marchés hebdo, le quotidien Les Marchés, Laiteries Mag’ et Viande Mag’
Recevez toutes les informations du Bio avec la newsletter Les Marchés Bio