L’Union européenne reste, sur les 7 premiers mois de 2024, le premier exportateur mondial d’œufs et ovoproduits, creusant l’écart avec le second, la Chine, grâce à une hausse de 22 % des envois. La Turquie reprend la troisième place à l’Iran, mais les États-Unis, qui restent certes quatrième, reculent, comme l’Ukraine, cinquième. Le premier acheteur de l’Union européenne reste le Royaume-Uni, avec 87 800 tonnes équivalent œuf (téœ) sur sept mois (+8 %), devant le Japon, 36 200 téœ (+17 %), la Suisse, 25 600 téœ (+15 %). A noter l’envolée des achats de la Thaïlande, 7 700 téœ (+126 %) et ceux de la Russie (5 700 téœ, plus que décuplés).
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Du côté des importations de l’UE, on constate aussi une hausse sur 7 mois de 24%. En cause, la hausse des achats à l’Ukraine (41 800 téœ, +36 %), au Royaume-Uni (9 200 téœ, +40 %) à l’Argentine (2 700 téœ, +47 %). Après un an de pause, l’origine US fait aussi son retour sur le marché (2 700 téœ).
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Marché français de l’œuf calibré au 25/10 :
Les opérateurs tiennent le même discours ce vendredi que la veille. La plupart mettent en avant la forte demande, quel que soit le code ou le calibre, des commandes dynamiques en inserts et des œufs qui, manquant globalement sur le marché, trouvent facilement preneurs. D’autres nuancent le discours mettant en avant l’effet calmant des congés scolaires sur le commerce à Rungis.
