Légumes : des marchés aérés

Légumes : Le manque de volume de chou-fleur — 195 000 têtes hier en Bretagne — entraîne de nouvelles hausses tarifaires, mais pénalise la commercialisation, sur le marché intérieur comme à l’export. De même, en endive, l’offre demeure très mesurée (700 t/j dans les Hauts-de-France), ce qui favorise, là aussi, le maintien de cours élevés pour la saison. En revanche, en poireau, les ventes sont moins fluides, la concurrence interrégionale pesant sur la tendance. En tomate, les prix bretons ont gagné en fermeté, depuis le début de la semaine, sous l’effet du déclin plus marqué des volumes.
Fruits : Le commerce manque de dynamisme en pomme, avec les vacances scolaires. Le retard des récoltes limite aussi le négoce. Les foires aux pommes prévues pour les prochaines semaines devraient toutefois activer les écoulements. En raisin, un petit courant de ventes régulier se maintient, notamment en Muscat AOC, ce dernier faisant l’objet d’actions promotionnelles. Les cours demeurent très fermes.