Aller au contenu principal

Fruits et légumes
Le grossiste Omer-Decugis & cie boucle un premier semestre 2021-2022 « exceptionnel »

Avec 96,6 millions d’euros de chiffre d’affaires, Omer-Decugis & cie affiche sur le premier semestre 2021-2022 une croissance de +56,3 % et compte poursuivre sur cette dynamique jusqu’à la fin de l’exercice.

Vincent Omer-Decugis, PDG d'Omer Decugis & cie
© Rungis International

Le groupe Omer-Decugis & cie, spécialisé dans la production et distribution de fruits et légumes frais et exotiques, a réalisé 96,6 millions d’euros de chiffre d’affaires sur le premier semestre 2021-2022, en croissance de +56,3 % sur un an (dont +54,4 % en organique).

« Ce premier semestre exceptionnel est porté par la vitalité de nos deux pôles qui enregistrent une belle progression sur leurs différents marchés », se réjouit Vincent Omer-Decugis, PDG d’Omer-Decugis & cie, cité dans un communiqué. « Les ventes ont bénéficié de l’effet accélérateur de la campagne de litchis malgaches distribués dans toute l’Europe au premier trimestre. Nous avons par ailleurs réussi l’intégration d’Anarex au sein du pôle grossiste », ajoute-t-il.

Au deuxième trimestre de l’exercice 2021-2022, Omer-Decugis & cie a réalisé 45,9 millions d’euros de chiffre d’affaires, en progression de +36,3 % par rapport au deuxième trimestre de l’exercice précédent. Les investissements réalisés fin 2021, portant la capacité totale de mûrissage à 110 000 tonnes avec sa nouvelle plateforme, ont porté leurs fruits en « accompagnant la croissance du segment fruits mûris ».

Omer-Decugis & cie se dit confiante dans sa capacité à poursuivre sa dynamique de croissance sur l’ensemble de l’année 2021-2022 et reste vigilant quant à des éventuels impacts indirects de la guerre en Ukraine sur ses activités.

Les plus lus

au premier plan, tête de boeuf, dans un marché aux bestiaux
DNC : quel impact sur les prix des broutards, petits veaux, jeunes bovins et vaches ?

Alors que le marché des bovins dans son ensemble était dans une conjoncture très favorable et rarement vue, la dermatose…

Poulets standard européen
Poulet : plus de 300 €/100 kg, le marché européen s’emballe

Les prix européens du poulet s’envolent, car la production progresse moins vite que la consommation. Si l’Ukraine est un peu…

vaches laitières dans une prairie
Vaches laitières : après un an de flambée, les prix vont-ils vraiment baisser ?

Les prix des vaches laitières ont commencé leur escalade il y a un an. Si un mouvement de baisse automnale se fait sentir, les…

Porc : « le choix de la Chine de cibler l’agriculture européenne n’est pas anodin »

Les Marchés ont échangé avec Simon Lacoume, économiste sectoriel chez Coface, expert mondial en assurance-crédit, pour…

Poulets JA787 aux Pays-Bas. © Hubbard
Poulet standard : y-a-t-il une vraie bascule vers le poulet ECC ?

Alors que le poulet standard est le moteur de la croissance de la production en France, LDC et Galliance ont annoncé s’engager…

personnes sur une scène
Culture Viande : « Sans abattoir ni ateliers, il n’y a pas de valorisation de la production française »

Lors du congrès annuel de Culture viande, les industriels ont pointé leurs intérêts convergents avec ceux de l’élevage, en…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 90€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Les Marchés
Bénéficiez de la base de cotations en ligne
Consultez vos publications numériques Les Marchés hebdo, le quotidien Les Marchés, Laiteries Mag’ et Viande Mag’
Recevez toutes les informations du Bio avec la newsletter Les Marchés Bio