Un achat d'impulsion
L'interprofession du lapin soutient un jeu-concours du 15 septembre au 17 novembre en partenariat avec le magazine Maxi, les cuiseurs Seb et les cuisines Hygena. 8 millions de personnes y ont potentiellement accès, sans compter les internautes. C'est une tentative pour attirer l'attention sur une viande qu'on achète par impulsion (1 achat sur 2 d'après étude récente du Cabinet Segments) et occasionnellement. Cette dernière caractéristique se lit à travers le fort renouvellement de la clientèle : un quart chaque année. Le Clipp milite pour une meilleure visibilité en rayon car elle augmenterait l'achat d'impulsion. En effet, dans l'étude de Segments, un acheteur sur deux ne voit pas le lapin. Ce taux monte à 66 % dans les supermarchés des grandes villes. Le lapin est considéré comme « peu visible » ou « pas du tout » à 46 % dans ces derniers et à 32 % dans les hypermarchés des grandes villes. D'après TNS, l'entier non découpé représente 42% des volumes d'achat, l'entier découpé 23%, le demi 6% et les morceaux 23%. Le Clipp considère que la praticité est un argument gagnant puisque ce sont les morceaux qui attirent le plus de clientèle (22 %), notamment les jeunes, avec la plus forte fréquence d'achat (2.2 par an).