Porcs : une crise aux impacts socio-économiques

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 19 août 2019 - Par Vyashini Chokupermal

Depuis l’apparition il y a un an de la peste porcine africaine (PPA) en Asie, environ 5 millions de porcs sont morts ou ont été abattus, selon la FAO. La PPA a touché principalement des petites exploitations, encore très présentes en Asie. En Chine, elles représentent la moitié des élevages.

La FAO craint pour la sécurité alimentaire de ces pays, en particulier du Vietnam où le porc représente près des trois quarts de la viande consommée.

Rabobank prévoit une baisse de 10 % de la production vietnamienne en 2019, ce qui se traduirait par une chute de 7 % de la consommation par habitant. Pour compenser cette baisse de l’offre, les importations de porcs mais aussi de poulet, qui représente un produit de substitution, sont prévues à la hausse. Le UN ComTrade data évalue la hausse des importations de poulets à 123 % à la fin de 2018 par rapport à la même période en 2017.

Viandes