Porc : recul breton sous la pression européenne

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 30 juin 2015 - Par Virginie Pinson

Porc : Sans grande surprise au vu des replis affichés en fin de semaine dernière chez tous nos voisins européens, le prix de base 56 TMP a reculé hier à Plérin, perdant 0,8 centime. Dans un contexte de disponibilités en viande abondantes sur le marché européen, difficile à la France de faire cavalier seul en maintenant son prix, malgré les difficultés affichées des éleveurs. Le manque de consommation ne permet pas de poursuivre le redressement tarifaire tant attendu par l’amont.

Porcelets : Peu de changement dans un marché peu évolutif, l’offre, assez large, suffit largement aux besoins du moment, les prix sont stables à légèrement baissiers, selon les groupements. De leur côté, les indices FNP-Coop de France ont continué de progresser la semaine dernière (+6 centimes pour les 25 kg et +1,07 euro pour les 8 kg).

Découpes : Les exportations françaises de viande porcine ont reculé de 11 % en avril par rapport à avril 2014, alors même que cette période était déjà impactée par l’embargo russe, note Agreste. Nos envois au Japon et à la Corée du Sud ont reculé tandis qu’ils ont augmenté vers la Chine. EN Europe, nos ventes aux Pays-Bas progressent mais ne compenses pas le repli vers l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne.

Viandes