Petits veaux : hausse inhabituelle
Gros bovins : Le commerce est calme pour les animaux haut de gamme et les tarifs sont peu évolutifs en l’absence de besoins particuliers. En vaches laitières, les abattoirs annoncent être mieux couverts pour les jours qui viennent, et donc la fin de la hausse des tarifs. Ce d’autant plus que les sorties sont régulièrement plus abondantes au début du mois de mars. A confirmer.
Veaux : Le marché du petit veau laitier est surprenant pour la saison. Alors que les besoins des engraisseurs sont modérés à cette période de l’année, les prix continuent de grimper. Les petits opérateurs avouent d’ores et déjà leur inquiétudes. Quand leurs besoins se feront plus importants, dans la perspective des sorties de septembre, ils craignent de voire les prix atteindre des niveaux prohibitifs. Dans le même temps, les coûts de production liés à l'aliment d’engraissement se redressent, même s’ils sont encore loin des niveaux de l’an dernier. Les opérateurs pourraient se tourner vers l’importation dans les jours qui viennent.
Ovins : Dans les bons agneaux de qualité, les prix se maintiennent facilement, voire même se réajustent à la hausse. Avec l’approche début de mois et la fin des vacances scolaires dans deux zones, les boucheries traditionnelles commencent à se réapprovisionner et les disponibilités sont limitées.