Aller au contenu principal

Marie rappelle ses engagements pour la viande française

La marque du groupe LDC estime que ses ventes ont progressé de 8 % depuis qu'elle communique sur l'origine de ses ingrédients.

n plein Salon de l'agriculture, Marie a orga-Enisé une conférence de presse le 2 mars pour revenir sur les engagements de la marque. « Depuis 2012, Marie a intégré des exigences sur l'origine de ses viandes, avec le lancement de la gamme « juste cuisson ». La démarche a été étendue à l'ensemble des gammes aux rayons frais et surgelés en 2013 », déclare Christine Ball, directrice marketing chez Marie. Aujourd'hui, 99 % des viandes utilisées par la marque viennent de France. Seuls le veau et l'agneau ne sont pas élevés dans l'Hexagone et viennent d'Allemagne et d'Irlande. « Passer en origine France a représenté un vrai surcoût que nous avons décidé de supporter », ajoute-t-elle. La marque estime que la demande des consommateurs pour ses produits a aug-DR menté de 8 à 10 % depuis que la provenance française de ses approvisionnements est mise en avant sur l'emballage. Côté légumes, Marie utilise des tomates et des poireaux français, notamment dans ses tartes salées. D'ici à la fin de l'année, elle entend bien aller plus loin, avec la mise en place d'un cahier des charges spécifique avec son fournisseur Gielly, pour des légumes cultivés en agriculture raisonnée. En plus de l'origine France indiquée sur l'emballage, la marque devrait communiquer sur cette méthode de production. La directrice marketing a également présenté les innovations prévues pour avril. Après les coffrets repas « Ma formule midi » et les tartes individuelles « Ma pause déj' », sorties à l'automne dernier, Marie lancera « Mon plat chaud », une recette cuisinée tricouche en pot transparent, inspiré de la tendance des bocaux.

Les plus lus

salle de traite en élevage laitier
Prix du lait : des tendances négatives venues d'Europe du Nord

Les prix du lait au producteur sont sous pression dans le nord de l’Europe, car les cotations des produits laitiers…

 Emmanuel Bernard, président de la section bovine d’interbev
Sommet de l’élevage 2025 : « La première chose à faire, c’est de faire naître les veaux ! » pour Emmanuel Bernard, Interbev bovins

Alors que le Sommet de l’élevage commence, Emmanuel Bernard, éleveur bovin et président d’Interbev bovin revient pour Les…

Porc : « le choix de la Chine de cibler l’agriculture européenne n’est pas anodin »

Les Marchés ont échangé avec Simon Lacoume, économiste sectoriel chez Coface, expert mondial en assurance-crédit, pour…

graphique de la cotation entrée abattoir du JB R
Le prix des taurillons R dépasse les 7 €/kg

Les prix des jeunes bovins français grimpent nettement depuis le mois d’août et dépassent un nouveau record historique, même s…

Dépalettiseur
Œufs : « Il manque 3 millions de poules », comment la filière s’adapte à la tension

La transition vers l’œuf alternatif est bien amorcée par l’amont de la filière œuf. Mais il faut plus de poules en code 2 ou 1…

Poules standard dans un poulailler automatisé
Le Sud-Ouest se tourne vers le poulet standard pour concurrencer les importations

La France reste confrontée à la hausse des importations de poulets standards, qui représentent désormais un poulet sur deux.…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 90€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Les Marchés
Bénéficiez de la base de cotations en ligne
Consultez vos publications numériques Les Marchés hebdo, le quotidien Les Marchés, Laiteries Mag’ et Viande Mag’
Recevez toutes les informations du Bio avec la newsletter Les Marchés Bio