Le commerce du chou-fleur prend de l’ampleur

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 19 octobre 2017 - Par Jean-Luc Cattin

Légumes : Les cours du chou-fleur remontent. Les besoins sont un peu plus importants et le développement de la production encore modéré (236 000 têtes). Le marché du poireau est stable. L’activité est toujours au ralenti en tomate. L’offre se maintient sur un palier de l’ordre de 700 t/j, mais la demande est désormais peu présente. Les cours reculent. Le commerce de l’endive marque le pas, entraînant quelques concessions tarifaires. Fin des campagnes françaises de concombre et de courgette.

Fruits : Un petit courant d’affaires se maintient en raisin de frigo. Les cours restent fermes. En pomme, l’activité se développe, sur le marché intérieur. L’offre et la demande s’étoffent. Les prix sont reconduits. En poire, la demande manque de dynamisme, ce qui pèse sur les tarifs. Le marché de la noix et celui du marron restent très calmes, le climat étant encore trop doux pour doper la consommation.

Fruits et Légumes