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LDC maintient son chiffre d’affaires grâce aux acquisitions et à la consommation à domicile

Dans le contexte de crise sanitaire, le groupe LDC publie un chiffre d’affaires 2020-2021 stable, malgré une activité international en baisse.

LDC affiche un chiffre d'affaires en croissance de 15,7% au troisième trimestre 2021-2022.
© LDC

Sur son exercice 2020-2021, le groupe LDC vient de publier un chiffre d’affaires stable à 4,4 milliards d’euros (+0,2%), avec des volumes en hausse de 1% par rapport à l’exercice précédent.

A périmètre identique et à taux de change constant, le chiffre d’affaires est en retrait de 1,4% et les volumes vendus en repli de 1,1%. Seul ses activités internationales sont en baisse, toujours marquée par la crise sanitaire et malgré la contribution des croissances externes.

Baisse à l’international

Le chiffre d’affaires du pôle baisse de 5,7% à 446,2 millions d’euros, pour des volumes en progression de 6,4%, « traduisant des tensions persistantes déjà évoquées sur les prix de ventes du poulet et des spécialités (canard et oie) et des ventes à l’export en retrait en raison de la crise sanitaire », détaille le groupe. L’activité a néanmoins bénéficié de l’intégration réussie des sociétés Kiplama en Belgique le 1er juillet 2019 et de Marnevall en Hongrie le 1er mars 2020. Hors croissances externes, l’activité enregistre une baisse de 7,6% en valeur et de 1,8% en volumes.

Hors amont, les ventes du pôle volaille sont stables à 2,997 milliards d’euros et les volumes vendus ressortent en baisse de 0,6%. A périmètre identique (Société Ramon 1er juin 2019 et Luché Traditions Volailles 1er décembre 2019), les activités du pôle sont en repli de 1,1% en valeur et de 1,7% en volumes.

Le traiteur bénéficie de la consommation à domicile

Enfin, l’activité du pôle traiteur enregistre une progression de 1,6% de son chiffre d’affaires à 655,1 millions d’euros, avec des volumes vendus en hausse de 2,4% en intégrant la société AGF à compter du 1er novembre 2020. Au quatrième trimestre, la croissance du pôle est forte (+7,9%). « Les ventes bénéficient toujours de l’évolution favorable de la consommation à domicile en frais comme en surgelés ainsi que du développement des produits à marque sur toutes les familles », détaille le groupe.

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