La CGT de Nestlé France apostrophe Manuel Valls
Dans une lettre ouverte du 15 avril, la CGT de Nestlé France a demandé au Premier ministre Manuel Valls que la convention fiscale, signée en 2007 entre la France et la Suisse et qui permet à Nestlé France de doubler le taux des redevances versées à sa maison-mère de 3,5% à 7% du chiffre d’affaires, ne soit pas reconduite. Selon les calculs du syndicat, la participation des 3 000 salariés de Nestlé France pourrait être amputée d’au moins 30%.