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Heineken va investir 13,8 M€ à Mons-en-Barœul

Le brasseur néerlandais installe une nouvelle ligne de conditionnement de fûts et renforce son poste palettisation dans une usine située près de Lille.

Vue partielle du hall d'embouteillage avec ses 6 lignes.
© Thierry Becqueriaux

Heineken va investir 5,5 millions d’euros (M€) dans son usine de Mons-en-Barœul, située près de Lille, pour l’installation d’une nouvelle ligne de conditionnement de fûts de 8 litres d’une capacité de remplissage de 270 fûts par heure. Elle devrait être opérationnelle début 2019.

Cet investissement répond au développement de la machine à pression The Blade, lancée en juin 2017 sur le marché des professionnels. Il vient s’ajouter aux 8,7 M€ annoncés par Pascal Sabrié, directeur général de Heineken France, le 5 février dernier à Mons-en-Barœul, destinés à renforcer le poste palettisation avec l’acquisition d’un 3e palettiseur.

D’ici deux ans, Heineken compte également moderniser sa ligne n3 dédiée à l’embouteillage des bières Pelforth et Affligem. Depuis 2010, Heineken a investi 55 M€ sur son site nordiste dont une nouvelle ligne en 2013. Implantée sur 22 hectares, l’usine de Heineken a brassé plus de 3,2 millions d’hectolitres de bière en 2017 (132 références différentes). Elle dispose de six lignes de production dont trois lignes d’embouteillage de 60 000 à 70 000 bouteilles par heure, une ligne de 70 000 bouteilles par heure, une ligne boîtes permettant de conditionner 800 000 à 900 000 hectolitres par an (la seule en France) et une petite ligne destinée aux tests.

A Mons, le brasseur néerlandais emploie 301 salariés. « Le groupe génère 2000 emplois indirects (malterie Soufflet, verrerie de Wingles, cartonneries et imprimeries, ndlr) », souligne Pascal Sabrié.

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