Viande bovine : nouvelle baisse des achats

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 23 avril 2015 - Par Virginie Pinson

Gros bovins : Les achats de viande bovine par les Français ont manqué de tonus : ils ont reculé de 4,7 % en cumul annuel du 29 décembre 2014 au 22 mars 2015. Pourtant, à 13,20 euros/kg, le prix moyen d’achat reculait de 1,6 %, selon FranceAgriMer-Kantar Worldpanel. Les ventes étaient ralenties tant pour les morceaux à griller et rôtir (-5,8 %) que pour les pièces à braiser (-2,2 %). Le bœuf haché surgelé confirme sa bonne tenue avec une progression des volumes de 2,6 %.
Sur cette période, les achats des ménages de produits tripiers frais bovins ont progressé de 1,6 %, tirés par les cœur, langue, rognon (+5,4 %).

Veaux : Peu de changement sur les marchés en vif. Le commerce est régulier et les tarifs peu évolutifs quelle que soit la catégorie
considérée.

Ovins : Au premier trimestre, les achats des ménages français de viande ovine se sont repliés de 11,5 % par rapport à l’an dernier, selon FranceAgriMer-Kantar Worldpanel. Les prix ont augmenté de 3,1 % sur cette période. Néanmoins, les opérateurs ont le sentiment que par la suite, pour Pâques, les Français sont revenus plus massivement aux achats.

Viandes