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Une nouvelle organisation pour Terrena

Terrena a choisi Cholet pour dévoiler au cours d’une assemblée extraordinaire la nouvelle organisation de sa coopérative, jeudi 1er février

Conformément aux engagements du 20 juin dernier, le conseil d’administration a été renouvelé pour un quart. Et le nouveau schéma organisationnel devrait permettre de mieux gérer la proximité et le service aux adhérents et d’instaurer une synergie ou une complémentarité entre les filières pour en dégager les meilleurs profits en terme de recherche, de logistique ou rentabilité des coûts. A la fusion de la Cana et de la Caval, trois établissements avaient été créés, à savoir Terrena Loire, Terrena Atlantic et Terrena Poitou. Désormais cette organisation territoriale s’efface pour laisser la place à un dispositif basé essentiellement sur les filières. Le pôle production animale et grandes cultures sera présidé par Gérard Viel. Le pôle productions spécialisées qui regroupe la viticulture, l’horticulture, l’arboriculture, les semences et la distribution grand public aura pour président Olivier Chaillou. Enfin le pôle agroalimentaire sera piloté par le président du groupe Terrena, Hubert Garaud.

Gastronome se relève

Chaque pôle composé d’une vingtaine de membres environ sera force de proposition pour le conseil d’administration. Parallèlement et c’est peut-être là que le conseil d’administration apporte une touche d’originalité un pôle d’animation collectif est créé. Tony Cesbron, en sera le président. Profitant de cette réunion, Hubert Garaud a divulgué quelques chiffres sur l’exercice 2006. Le résultat de la coopérative est en augmentation de 10 % sur 2005, la conjoncture pour la filière lait et grandes cultures ayant été favorable. Le résultat du groupe a doublé par rapport à la campagne précédente pour atteindre plus de 16 millions d’euros. Ce bilan plus positif en revient à Gastronome dont le déficit a été divisé par 5 en 2006. Au dernier exercice, il était de moins 23 millions d’euros. « Sans les difficultés rencontrés avec la grippe aviaire durant les 3 premiers mois de 2006, nous aurions peut-être atteint l’équilibre », a précisé Gérard Baranger, directeur du groupe.

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