Réactions mitigées :
Rémi Gellé, président du Syndicat national des vétérinaires d’exercice libéral (SNVEL) :
« Une grande partie de nos revendications techniques et financières figurent dans ce rapport. Mais, aujourd’hui, rien ne permet une sortie de crise. La grève sanitaire se radicalise. Des actions plus dures sont envisagées, notamment une sensibilisation des consommateurs et une perturbation des échanges commerciaux d’animaux. »
Marc-Henri Cassagne, directeur de la Fédération nationale des groupements de défense sanitaire du bétail (FNGDSB) :
« Ce rapport est sans surprise, bon en analyse, mais court en proposition. Nous sommes plutôt opposés à une visite d’évaluation sanitaire. S’agit-il de contrôler l’éleveur, les pratiques, la présence de maladie ? Si l’Etat réclame une telle visite, qu’il la paye. »