À quoi ça tient…
Nous analyserons prochainement les chiffres détaillés des exportations françaises de vins et spiritueux pour le mois de février qui confirment de belle façon la forte reprise déjà enregistrée en janvier et qui s’amorçait depuis les derniers mois de 2005. Les Bourgogne, entre autres, profitent largement de ce courant grâce à la reprise de leurs ventes aux États-Unis, que l’on qualifie d’«effet Pinot Noir » que l’on met au compte d’un film américain, « Side Ways » dans lequel deux copains traversent la Nappa Valley sur un rythme de dégustations impressionnant en évoquant les vertus du cépage propre à la Bourgogne. Après le French Paradox, l’effet Pinot Noir en constitue un nouveau puisqu’il renforce la concurrence d’un vin français sur ses homologues américains.