Petits veaux : moins d’importations
Gros bovins : Peu de changements de tendance dans les animaux maigres. Les ventes de broutards lourds sont régulières mais limitées. Les ventes d’animaux légers sont un peu plus dynamiques et la tendance des prix est stable à haussière selon la qualité des lots et les débouchés considérés. Les niveaux de prix sont similaires à ceux de l’an dernier.
Veaux : En 2014, l’Institut de l’élevage indique que les importations françaises de petits veaux ont reculé de 40 % à 23 000 têtes, pour atteindre le niveau le plus bas jamais atteint. L’Espagne comme l’Allemagne, nos principaux fournisseurs, ont limité leurs envois. Dans le même temps, un nombre grandissant de distributeurs français souhaite pouvoir apposer “ né, élevé et abattu en France ” sur la viande en gage de qualité. De quoi limiter les importations et contribuer au maintien des prix des petits veaux à un bon niveau saisonnier.
Ovins : Les cours de la viande poursuivent leur hausse à l’approche de Pâques. Les acheteurs ont beau ralentir leurs approvisionnements, les disponibilités sont très limitées.