Ovins : de l’intérêt pour les agneaux lourds
Gros bovins : Alors que le marché des animaux de boucherie reste morose, les animaux maigres bien conformés continuent de s’échanger sur des bases de prix fermes. En broutards, en revanche, la demande reste très prudente. En génisses, les cours sont facilement reconduits voire même en petite hausse pour les animaux de bonne qualité.
Veaux : Les bons petits veaux croisés, charolais ou limousins trouvent facilement preneurs à des prix qui oscillent entre légère hausse et stabilité selon les marchés.
Ovins : La demande s’anime en ce qui concerne les agneaux mâles lourds à l’approche de la fête de l’Aïd, le 5 octobre. Le marché s’allège et l’ensemble des cours se réajuste légèrement à la hausse. Pour autant, le gros des besoins sera satisfait par la production contractualisée des exploitations spécialisées situées en périphéries des grandes agglomérations..