Œufs : marché toujours lourd
De “catastrophique” pour les plus pessimistes à “assez mou” pour les autres, les adjectifs que les opérateurs utilisaient vendredi pour qualifier le marché des œufs destinés à la consommation reflétaient bien le manque de commerce. La consommation semblait à la peine, les grossistes comme les centres se contentaient des volumes contractualisés et, dans l’ensemble, n’avaient pas de besoins supplémentaires. Dans ce contexte, l’offre restait largement suffisante et les prix se sont effrités.