Nicolas Hulot
Nicolas Hulot se voit reprocher par ses concurrents écologistes de ne pas être assez radical. Dans Le Parisien (22/11), Pierre-Yves Le Mazou, ancien membre du « comité de veille écologique » de la Fondation créée par l’animateur de télévision estime abruptement que « ce n’est pas pour les cantines bio qu’il faut se battre mais pour la conversion à une agriculture 100 % bio». Un peu gêné, l’initiateur du Pacte écologique répond dans le même journal « qu’il faut être radical dans les objectifs, mais progressif dans les changements. Évidemment qu’il faudrait faire beaucoup plus et beaucoup plus vite. Bien sûr, on pourrait directement prôner l’agriculture 100 % bio, mais c’est être idéaliste. » Ah bon ?