Michel-Edouard Leclerc
A propos de flambée des matières premières, Michel-Edouard Leclerc(dans Métro, le 4/9) est formel : « Il n'y a pas de fatalité à la hausse des prix ». Le distributeur, qui dénonce « les fournisseurs qui prétextent la hausse des cours pour améliorer leurs marges », en profite « avec la nouvelle vague de hausses tarifaires qui se profile », pour réclamer à Sarkozy de parachever la réforme de la loi Galland « qui nous permettra de négocier les tarifs avec nos fournisseurs ».