Martinet confirme son statut de leader
A à peine 20 ans, le traiteur Pierre Martinet poursuit sa success-story. Avec 9 % de croissance annuelle, le célèbre entrepreneur confirme d’année en année sa position de leader sur le marché français des salades traiteur libre service dont il possède aujourd’hui 14,1 % des parts. Bien positionné également à l’international (3 % du CA), il détient la troisième place sur le marché européen. En outre, l’industriel annonce régulièrement des records de production ou de ventes, à l’instar des performances réalisées durant l’été dernier avec plus de 5 000 tonnes de salades produites au mois de juin. Dernier point qui réjouit le traiteur isérois : l’ascension continue de son taux de notoriété. « Le cap des 80 % de notoriété assistée sur la marque Martinet a été atteint en milieu d’année ainsi que 32 % de notoriété spontanée », indique-t-il.
Communication payante
Ces résultats et ce succès auprès du consommateur, l’industriel les attribue entre autres à ses investissements commerciaux – renforcement des équipes en Belgique, en Italie et en France – et à l’efficacité de sa communication. « Je me suis toujours investi personnellement pour faire la publicité de nos gammes », rappelle-t-il. Quant aux produits à proprement parler, le traiteur évoque le soin dont ils font l’objet. « Nous consacrons depuis toujours une partie de notre CA à la R & D pour proposer au consommateur un produit qui se différencie des autres à la fois par sa qualité, son goût et son packaging. »
Illustration de cette volonté, le dernier né de Pierre Martinet sera en rayon le 1er janvier 2006. Ce produit s’inscrit dans une démarche nutritionnelle avec une attention particulière portée au besoin journalier en fruits et légumes. « Il s’agit d’un taboulet 5 légumes qui contient des céréales et de l’huile d’olive », précise le fabricant. Alors qu’il soufflera sa vingtième bougie le 15 avril prochain, l’industriel rhônalpin promet d’ores et déjà de nouveaux temps forts pour l’année 2006. Le premier concerne l’agrandissement d’une des trois usines présentes sur le sol français et le deuxième, une entrée en bourse en mai 2006, initialement prévue en janvier.