L’offensive de Lactalis sur Parmalat hérisse Rome
L’entrée au capital de Parmalat du français Lactalis a relancé les grandes manoeuvres autour du groupe transalpin mais Rome ne compte pas rester les bras croisés et a annoncé envisager des mesures pour défendre ses entreprises stratégiques. Le gouvernement est « très favorable » à une alliance d’investisseurs italiens, a indiqué le ministre du Développement Economique Paolo Romani. Granarolo s’est dit prêt à participer à une telle alliance. Dans un communiqué, la firme Ferrero a manifesté « son intérêt et sa sympathie pour une solution industrielle italienne ».