Les importations encouragés par des prix élevés à la production

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 14 septembre 2005 - Par Rédaction Réussir

Le Conseil spécialisé de l'Ofival du jeudi 8 septembre a vu des «signes de reprise» de la production de poulet et fait état de difficultés d'écoulement en dinde en dépit du net recul de la production par rapport à l'an dernier.

En poulet, les mises en place sont reparties à la hausse en avril et les abattages ont fait un bond de 13 % en mai 2005. Si la Commission table sur une quasi-stabilité de la production française de poulets de chair cette année, elle prévoit une diminution de 3,3 % des mises en place de poussins de dinde.

«Les prix à la production élevés pourraient continuer à encourager les importations, notamment en provenance de l'UE», est-il noté en conclusion.

Les exportations françaises vers Pays Tiers devraient reculer à cause de l'euro fort, et de la concurrence brésilienne, tandis que la consommation pourrait en reprendre en fin d'année sous l'effet du logo «viande de volaille française».

Actu