Le coopération agricole franco-chinoise appelée à se renforcer

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 14 novembre 2006 - Par Sylvie Carriat

Une meilleure coopération économique dans le domaine agricole entre la Chine et la France. C’est ce qu’on attend du voyage officiel qu’effectue depuis vendredi Dominique Bussereau en République populaire de Chine. Hier, le vice-premier ministre en charge de l’Agriculture, Hui Liangyu a estimé à Pékin que la Chine et la France ont des secteurs agricoles complémentaires et un grand potentiel de coopération, laquelle « répond aux intérêts fondamentaux des deux peuples ». M. Hui a aussi souhaité renforcer le dialogue et les échanges entre les secteurs agricoles des deux pays, ceux-ci se déclarant favorables à une meilleure coordination internationale et régionale.

Le ministre français de l’Agriculture a inauguré dans la province du Sichuan le Consulat général de France et la mission économique ouverts l’an dernier. Il devait aussi rencontrer la communauté d’affaires française implantée « dans cette grande région agricole chinoise qui connaît un très fort développement économique», indique le communiqué du ministère. Il devait rencontrer hier son homologue, M. Du Qing Lin, sur la ferme viticole franco-chinoise de Taishi, à 80 km au nord de Pékin, avant d’ouvrir avec lui la 1ère session du Comité mixte agricole et agroalimentaire franco-chinois. Ce comité, créé en avril 2006, a pour but de renforcer le dialogue en matière agricole entre les deux pays et de renforcer la coopération dans des domaines tels que les céréales, la vigne et le vin, les produits laitiers, l’élevage et la filière viande.

Il a été question de la mise en place d’un centre-pilote sur les céréales décidée en avril dernier. Un responsable d’Arvalis et le correspondant local de France Export Céréales étaient sur place. Jean-Jacques Vorimore était retenu en Algérie pour la présentation de la récolte actuelle.

Partie plus délicate, Dominique Bussereau doit traiter de la question des barrières sanitaires et phytosanitaires aux échanges agro-alimentaires entre la France et la Chine avec M. LI Chang Jiang, Directeur général de l’Administration générale de la supervision de la qualité, de l’inspection et de la Quarantaine (AQSIQ).

Actu