Laurent Spanghero à Bruxelles : l’ouverture ou la mêlée ?

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 27 septembre 2005 - Par

Florian Morge

Les responsables de l’industrie de la viande, qui ont mobilisé le centre d’information des viandes sur cette affaire, n’entendent pas relâcher la pression. Jean-Paul Bigard interpellera aujourd’hui le ministre de l’Agriculture sur ce dossier lors de l’AG du SNIV (lire ci-contre). Il mettra en avant le risque d’une « forte dégradation qualitative» et la menace d’une « concurrence déloyale au détriment de la production française». Quant à Laurent Spanghero, il mettra cette question au centre de l’entretien qu’il doit avoir jeudi avec Mariann Fischer Boel. Le président de la FNICGV et de l’UECBV compte convaincre MFB de la nécessité de sauvegarder l’indépendance alimentaire de l’Europe en matière de viande bovine... et de maintenir les montants des restitutions pour préserver le potentiel français à l’export.

Actu