Laurence Parisot
La présidente du Medef, Laurence Parisot, a jugé, ce qui n’est guère surprenant, que face à la flambée des prix des produits alimentaires, il fallait «créer les conditions d’une concurrence totale pour arriver au prix vrai» et qu’une intervention « étatiste » pour faire baisser « aurait des effets pervers pires que tout », a-t-elle ajouté sur France Inter et i-télévision. Plus originale, elle a aussi jugé que «ce qui se passe aujourd’hui sur les prix agricoles, c’est aussi une chance formidable pour notre pays, pour l’ensemble de notre filière agroalimentaire». «Est-ce que ce n’est pas notre puits de pétrole à nous ? Une chance pour installer de nouvelles industries ?», a-t-elle lancé. A comparer avec le jugement précédent.