LAIT: BAISSE DES RECOMMANDATIONS AU ROYAUME-UNI

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 1 juillet 2016 - Par Rédaction Réussir

Au Royaume-Uni, l'agence du département de la Santé chargée du Eatwell guide, l'équivalent de notre PNNS, a révisé ses recommandations sur les produits laitiers en mars dernier. Alors que les précédentes recommandations nationales conseillaient que le lait et les produits laitiers représentent 15 % des apports alimentaires, les dernières recommandations réduisent leur part à 8 %.

L'agence inclut par ailleurs les alternatives au lait, comme les boissons au soja, dans le groupe des produits laitiers. « Une décision déconcertante et décevante », estimait Judith Bryans, la représentante de la filière laitière au Royaume-Uni, qui n'hésitait pas à prendre l'exemple des trois produits laitiers recommandés par jour en France. Alors, à l'image des Britanniques, peut-on s'attendre à un changement de repères sur les produits laitiers dans le cadre du nouveau PNNS ?

« À notre sens, il n'y a aucune raison de changer les recommandations nutritionnelles. D'après les chiffres du Crédoc, 40 % des enfants et 23 % des adultes n'atteignent pas leurs besoins nutritionnels moyens en calcium », réagit Véronique Fabien-Soulé, déléguée générale de Syndifrais, le syndicat des produits laitiers frais. Alice Flores