L'administration favorable à la vidéosurveillance dans les abattoirs
Le patron de la Direction générale de l'Alimentation (DGAL), Patrick Dehaumont, a défendu l'usage de la vidéosurveillance pour s'assurer du bon déroulement des opérations d'abattage. Celle-ci « peut avoir un intérêt mais il faut réunir les conditions à la fois juridiques et techniques d'exploitation des données », a-t-il nuancé mercredi devant la commission d'enquête parlementaire sur les abattoirs. Sur le plan pratique, « les agents qui font de l'inspection sur la chaine ne peuvent pas regarder la vidéo en même temps », a-t-il aussi soulevé.