Indication d’origine : Bruxelles réticente à aller plus loin sauf pour le cheval
Pour la Commission européenne, l’étiquetage obligatoire de l’origine du lait, des viandes mineures et des produits non-transformés et transformés contenant un ingrédient principal (céréales, fruits et légumes) n’est pas nécessaire. Les règles d’étiquetage volontaire semblent constituer la solution la plus adaptée, estime Bruxelles suite à la publication, le 20 mai, de rapports sur ces questions. La commission recommande toutefois d’imposer l’étiquetage de l’origine de la viande chevaline non transformée dans l’UE au vu de l’inquiétude suscitée par les fraudes autour de ce produit.