Hervé Gaymard pour une clarification de la loi Evin

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 3 novembre 2004 - Par Rédaction Réussir

Intervenant en clôture du colloque «Vin, consommation, distribution : nouveaux enjeux, nouvelles opportunités ?», organisé jeudi dernier au Sénat, Hervé Gaymard a exprimé son opinion sur la polémique entourant la loi Evin.

«Le débat se résume à opposer lobby viticole et lobby hygiéniste. Je refuse d’entrer dans ces débats binaires qui sont piégés et piégeant» a-t-il déclaré, ajoutant toutefois qu’il voyait dans la loi Evin «des imperfections qui nécessitent une clarification juridique [...] tout en respectant les intérêts de santé publique».

Par ailleurs, le ministre a précisé que lors de la deuxième lecture du projet de loi de développement des territoires ruraux au Sénat, début 2005, deux amendements pour l’affectation en AOC comme en vins de pays seront proposés. «Mon rôle est de définir la boîte à outils. Ensuite c’est aux viticulteurs de prendre leurs décisions», a-t-il déclaré. Sur le dossier viticole, la réforme de l’OCM sera une des priorités du ministre dans ses discussions avec le nouveau commissaire européen.

Actu