Des investissements pour l’agroalimentaire sur le Port de Nantes Saint-Nazaire

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 21 février 2020 - Par Thierry Goussin

La centrale à charbon de Cordemais (44) doit cesser de fonctionner en 2022. Afin d’accompagner ses salariés et le territoire à tourner cette page, l’Etat a mis au point un Pacte pour la transition écologique et industrielle de la centrale de Cordemais et de l’Estuaire de la Loire. Sur les trente et un projets identifiés, plusieurs concernent le développement des activités et trafics portuaires, dont trois dans le secteur agroalimentaire. Afin de soutenir le développement à l’export des entreprises agroalimentaires bretonnes et ligériennes, il est prévu d’investir 20 M€ sur le Port de Nantes Saint-Nazaire dans la création de nouvelles capacités logistiques à température contrôlée et dans un réseau de récupération de frigories associées. Un second projet consiste à créer une unité de réception et de traitement anti salmonelles des matières premières pour l’alimentation du bétail, pour un coût de 3,9 M€. Enfin, de nouvelles capacités de stockage de céréales pour l’exportation, d’environ 60 000 tonnes, seraient créées à Montoir pour un investissement global de 22 M€.

Métier