Des chevaux dopés à l’insu de leur plein gré
L’aliment équin peut être, paraît-il, à l’origine d’une malencontreuse présence de substance dopante, catastrophique pour un propriétaire. On sait notamment que certaines matières premières peuvent avoir été récoltées avec des plantes non désirables. Mais la contamination peut aussi avoir eu lieu pendant le transport ou le stockage. L’aliment a parfois bon dos, au même titre que les médicaments. A la présentation, vendredi, de sa Charte qualité nutrition équine, le Club nutrition équine français (CNEF) des grandes marques telles que Derby et Royal Horse vont annoncer leur lutte renforcée contre les « risques de contamination dopante d’origine naturelle ». L’aliment est rarement en cause, rassure le CNEF, grâce aux choix de matières premières garanties sans substance dopante.