Citizen Pommes de terre
Bataille juridique dans le milieu réduit de la presse spécialisée en pommes de terre. Le CNIPT édite un trimestriel « La pomme de terre française ». Il en avait confié l’édition à un autre éditeur. Souhaitant reprendre la gestion directe de sa revue, le CNIPT se trouve en conflit avec son éditeur délégué. Ce dernier décide de lancer, par le biais d’une autre maison, Pro Pages, un nouveau magazine « Pomme de terre magazine». Le CNIPT crie au plagiat et décide de poursuivre. Le TGI de Paris vient de lui donner raison estimant que Pro Pages a « commis des actes de parasitisme à l’encontre de La pomme de terre française». Le jugement lui interdit la poursuite de ses agissements sous astreinte et ordonne le transfert de la marque « Pomme de terre magazine» à la société « Pomme de terre française». Pourvu que le lecteur s’y retrouve.