Christophe Bonduelle contre la négociabilité
«La loi Chatel me convient bien», a déclaré hier Christophe Bonduelle, en réponse à une question d'un journaliste. En revanche, le patron de Bonduelle voit d'un mauvais œil la négociabilité des tarifs qui semble déjà acquise aux distributeurs. «S'il y a négociabilité, le risque c'est que toute la marge arrière soit déduite de nos tarifs et en échange on n’aura plus les services réels (prospectus, animations...) ou alors il faudra repayer», estime-t-il. «Or 50% de nos volumes à marque Bonduelle sont vendus en promo», ajoute-t-il.