Trafic de chevaux : pas de risque pour la santé à ce stade
Patrick Dehaumont, le directeur général de la DGAL, a assuré hier que le trafic de chevaux tués à l’insu de leurs propriétaires pour être écoulés dans l’alimentation humaine ne présente pas de risque pour la santé humaine. « Ce sont des chevaux qui ne suscitent pas d’inquiétude », ils étaient « en retraite » et « n’ont donc pas été traités » dans les jours précédant leur abattage, a-t-il indiqué précisant que ses services planchaient depuis deux mois sur le dossier. Il rappelle que les abattoirs en France « sont sous contrôle permanent » d’un inspecteur qui effectue des contrôles aléatoires ou ciblés sur la chaîne d’abattage.