Prévoyant.
Pas question, pour les coop-s céréalières, de fragiliser leurs fonds propres. Hubert Grallet, président de la Ffcat a salué mardi en AG le « rapport vivifiant de François Guillaume ». Mais s'il s'agit de rendre les coopératives « attractives», il craint que la transformation d'une partie de leurs réserves en capital social au profit de leurs adhérents ne compromette la filière. En dépit d'une campagne 2003/2004 calamiteuse, « les résultats des coops de collecte-appro sont souvent positifs », ce qu'il attribue entre autres à « un niveau de fonds propres suffisant et stable ».