Porcs : des fondamentaux identiques
Porcs : Aucun grand changement de tendance n’a eu lieu la semaine dernière en Europe. Les disponibilités en élevage sont restées suffisantes pour couvrir des besoins d’abattage peu évolutifs. Toutes les filières attendent un réveil de leur consommation nationale avec le début de mois voire une reprise des exportations, et pour certains états membres (France, Pays-Bas, Italie, Danemark), la reprise des envois de porcs vivants, d’abats et de gras vers la Russie. L’ensemble des entreprises, tant de l’amont que de l’aval, semblent donc préférer jouer la carte du statu quo plutôt que de la baisse, d’où des références tarifaires qui ont oscillé entre maintien, fermeté ou léger repli, tant dans le nord que dans le sud de l’UE. Seul le Danemark détonne dans le paysage, ayant abaissé son prix d’acompte pour la semaine à venir de près de 4 centimes.
Porcelets : Le marché européen ne présente pas de changement majeur en cette fin janvier. Les volumes disponibles sont stables et globalement ajustés aux besoins du moment. Les prix oscillent entre hausse (Espagne, Pays-Bas), maintien (Belgique) et baisse (Danemark, Grande-Bretagne).