Oser pour grandir... et réussir
L'agroalimentaire est « un secteur sous haute tension ». « Les marges se réduisent, les cours de matières premières sont de plus en plus volatils, les rapports avec la grande distribution restent trop déséquilibrés et les concurrents sont de grands groupes multinationaux. » Sans parler des guerres des prix fréquentes et « des révoltes de l'amont agricole régulières », « alors que les exigences sanitaires et environnementales se renforcent sans cesse ». Ce n'est pas l'Association nationale des industries alimentaires qui parle (même si on retrouvait les mêmes termes dans le discours de l'Ania la semaine dernière à Paris), mais Bpifrance Le Lab.