Œufs : prix stables à haussiers en Europe
Sans surprise au lendemain de la Pentecôte, le commerce français reprenait progressivement. Le calme était de mise chez les uns, tandis que d’autres notaient des commandes satisfaisantes voire plus soutenues que prévu. En parallèle, l’offre était certes plus large du fait des retards d’enlèvement liés au lundi férié, mais n’en demeurait pas moins raisonnable aux dires de l’amont qui avait anticipé ces perturbations du calendrier. Ainsi le marché du calibré était-il fluide et les cours ont-ils été reconduits sans difficulté majeure.
Chez nos voisins européens, si les températures plus estivales freinent la consommation des ménages et par conséquent le commerce, l’offre n’est pas excessive. Les cours sont plutôt stables en Allemagne et s’orientent à la hausse dans les autres bassins de production.
Volailles : Un jour d’activité en moins et une météo plus ensoleillée dynamisent les échanges. Les commandes de réassorts après le long week-end de la Pentecôte sont jugées correctes à toniques selon l’opérateur et la volaille considérés. Sans surprise pour la saison, les espèces d’hiver (poule, coq, lapin) sont désormais délaissées, et aucune reprise n’est attendue avant la rentrée de septembre.