José Bové
José Bovémènera-t-il une campagne présidentielle derrière les barreaux, s’interrogeait hier Libération ? L’intéressé se dit « prêt à affronter cette situation particulière». La question peut en effet se poser, suite au rejet du pourvoi relatif à sa condamnation en 2005 pour fauchage d’OGM. « Comme je ne suis pas privé de mes droits civiques, rien ne m’empêche d’être candidat derrière les barreaux. Et comme chaque candidat a droit à une égalité de traitement, notamment pour la campagne télévisuelle, ils seront bien embêtés », reconnaît le leader alter mondialiste.